Ostéopathe du sport à La Chaussée Saint-Victor
(à proximité de Blois)

L’intérêt des sportifs pour l’ostéopathie du sport est grandissant. Ils soumettent leur corps et plus particulièrement l’appareil locomoteur à des contraintes importantes.
L’ostéopathe, de concert avec le staff, peut les aider dans la récupération des blessures et de leurs récidives mais aussi dans la préparation à l’effort. De part son rôle en thérapie manuelle et son action sur l’équilibre et la posture, l’ostéopathie du sport amène un vrai plus au sportif de haut niveau voir de très haut niveau.
On sait aujourd’hui que, dans la fonction d’équilibration, l’entrée neuro-sensorielle proprioceptive est fondamentale. La prise en charge du sportif en position debout permet de prendre en compte les informations endogènes et exogènes de la fonction d’équilibration.
La résultante de ce travail se retrouvera sur la fonction posturale et supra-posturale du sportif.

En préventif, en curatif, pour le suivi :

J’ai choisi de renforcer ma formation dans la prise en charge du sportif au travers d’un Master de la filière universitaire des sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS). Plus spécifiquement dans la mention ingénierie et ergonomie de l’activité physique avec un spécialité sur le système musculo squelettique, sa pathologie, sa rééducation et la réathlétisation du sportif de haut niveau.

Pouvoir accéder aux dernières avancées en recherche en lien avec le sytème musculo-squelettique. Maîtriser et développer mes connaissances théoriques dans ce domaine. Sur le fonctionnement, sur la structure des tissus du système musculo-squelettique, sur les effets de l’activité physique sur ces tissus, sur ses pathologies osseuses, musculaires, cartilagineuses, tendineuses, et sur son vieillissement.

Mes compétences acquises en matière d’imageries médicales me permettent de mettre en lien les examens dont le sportif a bénéficié dans sa pathologie.

Un mémoire de fin d’étude est venu sanctionner, avec mention, ce Master.

« Osgood Schlatter, hyperspécialisation sportive précoce et neurophysiologie de l’équilibre »